numéro 20 / L'étiquette
La semaine dernière j’étais en formation à l’extérieur de Montréal. De retour au boulot, je suis revenu branché sur le 220 volts et montrez-moi une montagne et je la défoncerai. Vive le HEC Montréal, merci!
Pour souligner ma semaine au HEC en arrivant chez moi, je me suis arrêté à la SAQ et j’ai décidé d’essayer un vin que je ne connaissais pas. À vrai dire, l’étiquette m’a attiré. (voir le sondage présentement en cours sur le blogue) Je suis de ceux qui croient qu’un vin qui se cache derrière une étiquette design cache un mauvais… et j’étais aussi le premier à cocher mon sondage comme quoi l’étiquette ne dictait pas mes choix.
Pour le vin de cette semaine, là ici c’était une étiquette hyper classique et bien que dans le fin fond de moi je me dis qu’une étiquette n’influence pas mes choix, mon regard c’est quand même arrêté sur cette bouteille dont je ne connaissais pas.
En conclusion, l’étiquette influence le choix du consommateur. Plus le consommateur est connaisseur – prenons par exemple un choix de vin jamais dégusté – il raffinera son choix selon ses goûts, cépages, régions, appellations,… mais sur les dernières bouteilles qui resteront devant ses yeux, l’étiquette dictera probablement son choix final. Je continue quand même à penser qu’un vin qui se cache derrière une étiquette trop design cache aussi ses défauts. Avec la bouteille de cette semaine vous comprendrez vers quoi je suis attiré...
La semaine dernière j’étais en formation à l’extérieur de Montréal. De retour au boulot, je suis revenu branché sur le 220 volts et montrez-moi une montagne et je la défoncerai. Vive le HEC Montréal, merci!
Pour souligner ma semaine au HEC en arrivant chez moi, je me suis arrêté à la SAQ et j’ai décidé d’essayer un vin que je ne connaissais pas. À vrai dire, l’étiquette m’a attiré. (voir le sondage présentement en cours sur le blogue) Je suis de ceux qui croient qu’un vin qui se cache derrière une étiquette design cache un mauvais… et j’étais aussi le premier à cocher mon sondage comme quoi l’étiquette ne dictait pas mes choix.
Pour le vin de cette semaine, là ici c’était une étiquette hyper classique et bien que dans le fin fond de moi je me dis qu’une étiquette n’influence pas mes choix, mon regard c’est quand même arrêté sur cette bouteille dont je ne connaissais pas.
En conclusion, l’étiquette influence le choix du consommateur. Plus le consommateur est connaisseur – prenons par exemple un choix de vin jamais dégusté – il raffinera son choix selon ses goûts, cépages, régions, appellations,… mais sur les dernières bouteilles qui resteront devant ses yeux, l’étiquette dictera probablement son choix final. Je continue quand même à penser qu’un vin qui se cache derrière une étiquette trop design cache aussi ses défauts. Avec la bouteille de cette semaine vous comprendrez vers quoi je suis attiré...
C’est un vin de l’appellation Cabardès situé au nord de Carcassonne. Un très beau vin rouge cerise foncé dont le nez s’ouvre sur les fruits noirs et à noyaux. Les tannins sont fins avec une finale assez soutenue et une légère amertume agréable. Cépages : cabernet-sauvignon, cabernet franc, merlot, grenache, cot et syrah. Nous lui avons donné un *** 1/2 étoiles sur 5 pour un vin en bas de 15$. C’est un excellent rouge rapport qualité-prix que nous vous suggérons de boire avec un filet de porc et une sauce à la moutarde.
Ingrédients
1 ou 2 filets de porc - 1 oignon vert - 1 gousse d'ail - 250 ml de crème 35% - 1/4 Tasse de bouillon de poulet - 3 c.à.soupe de moutarde de dijon - Vinaigre de xérès - Poivre et sel - Persil au goût
Ingrédients
1 ou 2 filets de porc - 1 oignon vert - 1 gousse d'ail - 250 ml de crème 35% - 1/4 Tasse de bouillon de poulet - 3 c.à.soupe de moutarde de dijon - Vinaigre de xérès - Poivre et sel - Persil au goût
Faire revenir les filets de porc dans un mélange de beurre et d'huile. Réserver dans un pirex au four à 250F.
Dans la même poêle ou l'on a fait cuire le porc, faire revenir l'ail et l'oignon vert. Déglacer avec un peu de vinaigre de xérès, faites bien décoller les sucs. Ajoutez le bouillon de poulet et laisser réduire.
Ajouter le crème et laisser épaissir un peu. Ajouter la moutarde une cuillère à la fois et brasser. Goûter car c'est selon notre goût pour la quantité (moi c'est environ 3 grosses cuillères à soupe).
Poivre et persil si il y a lieu. Laisser épaissir. Couper les filets de porc que vous placerez dans vos assiettes en dominos tombés et ajoutez la sauce à côté suivant votre ligne de viande (ne jamais mettre la sauce sur la viande!!!!). Servez avec des asperges al dente.
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